J'ai un énorme défaut que la plupart des filles me concèderont :
- Je réfléchis toujours trop.
Tout le temps. Je n'y prête même pas attention. Cartésien dans l'âme, je ne cesse de décortiquer tout ce qui passe à la portée de mon esprit malade.
Cela prend des proportions qui, bien souvent, me dépassent. Et je ne me focalise jamais sur les points que les autres jugent importants.
Je ne suis même pas prétentieux lorsque je vous affirme cela. Je réfléchis trop, mais je ne pense pas que le filtre interprétatif de ma pensée dépasse la moyenne.
À vivre tous les jours, cela est un calvaire sans nom. J'ai l'impression de n'être qu'une machine purement analytique incapable de ressentir la moindre émotion. Quitter ma vie du jour au lendemain ? Oui, bien sûr, sans le moindre regret même. Tout ce qui me retient, finalement, c'est le pêché qui me définit le plus, et que je vais aborder au point numéro 24...
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire