mardi 3 février 2009

Et là, je me demande : pourquoi ?

Hello vous !

Vous m'avez manqué. Si si, je vous l'assure. À tel point que j'ai un peu envie de me confier à vous. Et Dieu sait que je ne devrais pas, j'ai encore pleins de préparations pour ma folle soirée électro, mais voilà, je ne sais pas, un brin de folie, un peu de joie, et beaucoup d'incompréhensions me font me tourner vers vous en ce moment précis.
Pour commencer, mes partiels se déroulent à merveille. Merci de vous en enquérir. Ce qui, je dois vous l'avouer, m'étonne au plus grand point, tant j'ai négligé de réviser un certain de nombre de matières, mais que voulez-vous... Je suis peut-être tout simplement trop fort (hem hem).
Sinon, il fait beau aujourd'hui. Mais hier, il a neigé ! Avez-vous vu ? Lorsque la douce couche cotonneuse enveloppe la ville grise pour la rendre blanche. Ce qui me fait tout le temps penser à une citation : "j'aimerai qu'il neige sur ma mémoire, comme il neige sur la ville, pour blanchir mes pensées"... Et le pire, c'est que je vous sors cette connerie sans même sourciller ! Imaginez-vous ?
Bref. La météo, c'est fait. 
Mais vous voyez bien que je tourne autour du pot. J'en viens donc au point qui a (lui) provoqué chez moi un haussement de sourcil dubitatif.
En effet, alors que je rentrais chez moi, pas plus tard que ce midi, rompu par tant d'effort intellectuel que me demandèrent mes épreuves matinales (hem hem bis), je découvrais sur mon bureau une enveloppe. Sur cette enveloppe, une écriture connue, mais depuis longtemps oubliée. Dans cette enveloppe, une lettre, et un mouchoir qui entourait un babiole m'ayant appartenu il y a une éternité, et que j'avais même oubliée (l'inimaginable) ! Sur la lettre, on pouvait voir, griffonnés, ces quelques mots : "plus rien ne nous lie maintenant", comme l'épitaphe d'une relation douloureuse que l'on désirerait fouler au pied avant de l'oublier.
Et je dois avouer ne pas avoir compris. Je n'avais juste pas conscience, pour avoir revu la personne concernée il y a moins de six mois, que nous avions vécu quelque chose de si fort, de si violent, qu'il eu fallut que cela cesse instamment, et avec un tel ressort mélodramatique. Une personne que je considérais (considère ?) comme une amie, a donc été capable de cela, pour je ne sais quelle raison obscure... Fut-elle un ancien amour avorté que je comprendrais, mais là, cela dépasse mon entendement. Tout simplement.
Mais c'est une bonne chose finalement... J'avais justement prévu de la revoir, et je m'aperçois que cela aurait été en vain.
Comme quoi, à toute chose, malheur est bon/profitable/bénéfique/anatidaeaphobique (rayez la mention inutile) !

Oh, et à venir très prochainement les suites de Chroniques de Trevor. Je pense que cela va devenir un bulletin hebdomadaire, pour me forcer à écrire un peu. Qu'en pensez-vous ?

5 commentaires:

Vlad a dit…

La tristesse =) Elle a un grain, sérieux ^^ J'espère qu'elle lira ton blog, histoire de !

Bref, vivement samedi =)

Reiyel a dit…

Tu me raconteras, je ne crois pas avoir compris ^o)

TiteMaud a dit…

Sérieusement, c'est pas nette une fille (je parle de toute en générale)...

Anonyme a dit…

Je t'envoie la même lettre dans quelques jours.
Ordure.

Potemkin a dit…

@CaliKen : amour.

Vous étiez au moins...